Mon voyage dans le passé

auteur : Ange

-Dépêchez vous, les filles, je vais devoir fermer!dit ma mère en me regardantséverement à travers ses fines lunettes noires.
Lisa, ma meilleure amie et moi, avons passées la journée dans "le musée de la généalogie" que tient ma mère, à la recherche de renseignements sur nos ancêtres, en fouillant dans les archives afin de fabriquer un arbre généalogique pour le proffesseur d'Histoire.Nous avons assez avancé dans nos recherches : pour ma part, j'ai réussie à remonter dans mon arbre généalogique jusqu'au début du XVème siècle avec, entre autres une jeune femme dont le prtrait, comme Lisa n'a pas manqué de me le faire remarquer, me ressemble étrangement.De surcroît, elle porte me même prénom que moi : Ania.
-Laisse moi juste le temps de le ranger!répondis-je à ma mère en désignant le dossier que j'étais en train de consulter.
Ma mère acquieça.
L'armoire où sont rangés les multiples dossiers généalogiques se situe à côté d'une bibliothèque où sont classés de nombreux livres, souvent très anciens et très rares.Je n'y prétais d'abord aucune attention , avant qº'un livre volumineux ne l'attire.Avec curiosité, je m'en approche et le tiens entre mes mains, mes jambes pliant légèrement sous le poid du livre.Il n'avait rien de particulier et je me demandais pourquoi je m'y étais interessée.Il semblait vieux, sa couverture e présentait aucun titre et c'est ce qui me poussa à l'ouvrir.Seule la première page possédait une date : 1425 et une inscription latine qui disait : Tempus praeteritum apperiro".Sans savoir pourquoi, je répétais cette phrase silenceusement.Et alors, je ne me souviens plus vraiment de ce qui c'est passé, je me suis sentie comme emportée dans un tourbillon de couleurs indescriptibles avant de me sentir retomber sur le sol.
Mais celui sur lequel j'étais à présent n'avait rien du parquet ciré du musée.Rien de ce qui m'entourai ne m'étais familier : j'étais à présent dans une petite ruelle où de nombreuses personnes me regardaient avec curiosité et je ne pouvais m'empêcher de faire de meme à leur égard : tous étainet vêtus de manière élegante et ancienne.Je marchais sans trop voir où j'allais afine de ne plus sentir ces regards posés sur mo et mon vieux jean délavé.Je mamarchais ainsi pendant un temps que je ne saurais définir, j'arrivai enfin dans une autre rue, qui semblait, elle, beaucoup plus pauvre et misérable, en tout cas, je ne m'y sentais pas très à l'aise et les murs décrepis des maisons n'étaient pas là pour me réconforter, pas plus que l'odeur nauséabonde qui régnait en ce lieu.
-Puis-je en quoi que ce soitvous être utile,gente demoiselle
demanda une voix masculine derrière moi.
Je me retournai avec rapidité et me retrouvai face à un gazrçon d'à peu près mon âge.Il m'avazit l'air familier, avec ses cheveux couleur de paille, ses multiples taches de rousseuret ses beaux yeux marron
iul me regarda avec une curiosité appuyée.
-À vrai dire, je l'ignore!soupirais-je
-Je vois d'après votre accoutrement, que de loin vous venez, sûrement de bien plus loin que je ne puis l'imaginer, après ce long voyage vous devez être fatiguée et affamée.Ma bourse
n'est pas bien pleine mais je pui à ma demeure vous mener si votre nom vous me donnez.
En essayant de ne pas me montrer impréssionnée par son langauage, je lui répond :
-Ania Linier et vous?
-Louis Silvert!répondit-il.
-Si vous voulez bien avoir l’obligeance de me suivre, gente damoiselle.
Je m’executai et nous arrivâmes à sa demeure, elle était misérable et je me sentis prise de pitié pour Louis.
Louis m’apprit beaucoup de choses sur le monde dans lequel j’avvais atterie (nous étions en 1410) et sur lui, ses parents sont tous deux morts alors qu’il avait sept ans et depuis, il avait appris à vivre seul.À mon tour, je lui racontai mon histoire et il se promitde me ramener dans le futur.
Le seul moyen de retourner dans mon vrai monde, était d’attendre jusqu’en 1425, date de publication du livre.Je ne pouvais donc rien faire, à part attendre.
Le temps a passé et cette vie a fini par me plaire : me voilà mariée à Louis et vivant avec lui et ma fille : Elisabeth.Simplement, à préseznt, je savaisque je devais faire mon choix.Louis a fait écrire un livre, identique à cerlui qui m’a mené dans ce monde, avec les mêmes inscriptions, par le monastèrele plus proche.Et je dois faire le choix le plus difficile de ma vie.Je me suis rendue compte qu’en amour, un choix peut avoir des conséquences innatendues.
579 ans plus tard, Lisa me faisait remarquer :
-Tu ne trouves pas qu’elle te ressemble beaucoup?
C’est sûr, ce portrait me ressemble tellement.
J’écrivis les deux derniers noms de mon azrbre généalogique : Louis et Ania Silvert.

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